CGI ENREGISTRE UNE FORTE CROISSANCE AU TROISIÈME TRIMESTRE DE L'EXERCICE 2002

Le Groupe CGI inc. (Bourse de New York : GIB; Bourse de Toronto : GIB.A), un fournisseur de premier plan de services complets en gestion des TI et des fonctions d’affaires, a annoncé aujourd’hui ses résultats non vérifiés pour le troisième trimestre de l’exercice 2002, terminé le 30 juin 2002. Tous les montants sont exprimés en dollars canadiens, à moins d’indication contraire.

Points saillants du troisième trimestre de l’exercice 2002

• Les produits d’exploitation de 553,4 millions $ représentent une croissance de 38,9 % par rapport au troisième trimestre de l’exercice 2001 et de 4,0 % par rapport au deuxième trimestre de l’exercice 2002. La croissance interne s’établit à 9,0 % comparativement au troisième trimestre 2001.
• Le bénéfice net de 36,5 millions $ marque une hausse de 50,0 % par rapport au bénéfice avant amortissement de l’écart d’acquisition du même trimestre de l’exercice antérieur. Le bénéfice net par action atteint 0,10 $, comparativement au bénéfice par action avant amortissement de l’écart d’acquisition de 0,08 $ réalisé au troisième trimestre 2001, malgré la hausse de 31,0 % du nombre moyen pondéré d’actions en circulation.
• La marge du BAIIA s’est chiffrée à 14,4 %; la marge du BAII s’est située à 11,3 % et la marge bénéficiaire nette a été de 6,6 %.
• Les flux de trésorerie provenant des activités d’exploitation se sont élevés à 69,8 millions $ au troisième trimestre 2002, à 101,9 millions $ au troisième trimestre 2001 et à 28,6 millions $ au deuxième trimestre 2002.
• Le carnet de commandes, composé de contrats signés d’une durée pondérée moyenne restante de 7,8 années, s’élève à 10,4 milliards $.
• Le réservoir de soumissions visant d’importants contrats en impartition, sous étude auprès de clients potentiels, demeure considérable, se chiffrant à 5 milliards $.

Nota : conformément aux recommandations de l’ICCA, CGI ne présente plus l’amortissement de l’écart d’acquisition depuis le 1^er octobre 2001; le bénéfice net et le bénéfice avant amortissement de l’écart d’acquisition deviennent donc équivalents à compter de l’exercice 2002. La présentation des résultats est modifiée conformément aux directives du Financial Accounting Standards Board (EITF 01-9). $CAN/1,56 = 1 $US.

«Malgré la conjoncture difficile, CGI a amélioré ses produits d’exploitation et son bénéfice au troisième trimestre 2002, a déclaré Serge Godin, président du conseil et chef de la direction. Les affaires ont été très bonnes dans tous les bureaux et secteurs verticaux du Canada et du Royaume-Uni. Notre position de chef de file et les solides partenariats que nous avons établis au cours des ans avec nos clients, en tant que fournisseur privilégié de services en TI, nous ont permis de réaliser un bon équilibre entre les contrats obtenus de nouveaux clients et les contrats additionnels, renouvelés ou prolongés pour le compte de clients existants.»

«Aux États-Unis et en France, le marché de l’intégration des systèmes et des services-conseils demeure difficile, et nous ne prévoyons pas de reprise majeure avant le deuxième trimestre de l’exercice 2003, a ajouté M. Godin. Nous assurons donc une gestion très serrée de nos affaires et nous nous attendons à ce que la rentabilité et les résultats découlant de ce marché s’améliorent de façon progressive, malgré une croissance lente de nos produits dans ce secteur. Aux États-Unis, où nous élargissons constamment notre présence, nos contrats d’impartition de services en gestion des TI et des fonctions d’affaires produisent de très bons résultats. Les négociations relatives aux soumissions et propositions que nous avons présentées depuis l’automne dernier progressent de manière satisfaisante et les délais de signature de nouveaux contrats aux États-Unis reflètent la progression naturelle de nos efforts afin d’accroître notre présence et notre notoriété en tant que fournisseur de services complets en gestion des TI et des fonctions d’affaires. Nous ciblons les contrats d’une valeur annuelle variant entre 20 et 250 millions $. Nous constatons que le marché de l’impartition des services de gestion des TI et des fonctions d’affaires est encore très vigoureux et intéressant. Nous demeurons donc très optimistes quant à notre potentiel de croissance.»

Préparation des états financiers consolidés
Dans le cadre de l’examen continu des nouvelles interprétations ou précisions émanant des divers organismes de réglementation, et pour respecter la nature conservatrice de ses méthodes comptables, CGI a modifié ou revu ses états financiers. Ces modifications ou révisions n’ont eu aucune incidence sur le bénéfice net de la Société et sur les flux de trésorerie provenant des activités d’exploitation.
 

• Rémunération et autres paiements à base d’actions
• Le 1^er avril 2002, la Société a décidé de procéder à l’adoption anticipée du Chapitre 3870 du Manuel de l’Institut canadien des comptables agréés(«ICCA»)de façon rétroactive, au 1^er octobre 2001. Afin de comptabiliser les coûts de rémunération à base d’actions consentie aux salariés, la Société a choisi d’utiliser la nouvelle méthode qui requiert la présentation pro forma du bénéfice net et du résultat par action comme si la méthode de comptabilisation fondée sur la juste valeur avait été utilisée. Si cette méthode avait été utilisée, le résultat de base par action aurait été réduit de 0,01 $ pour la période de neuf mois terminée le 30 juin 2002, sur la base d’un nombre moyen pondéré d’actions.
• Amortissement des incitatifs relatifs aux contrats d'impartition
• Durant la période de trois mois terminée le 30 juin 2002, la Société, basée sur l'interprétation des règles énoncées récemment en vertu de l'EITF 01-9, Accounting for consideration given by a vendor to a customer, et émis par le Financial Accounting Standards Board, a modifié la présentation de l'amortissement des incitatifs relatifs aux contrats d'impartition. L'amortissement est maintenant présenté en réduction des revenus plutôt qu'au poste amortissement des coûts liés à des contrats et autres actifs à long terme. Cette modification n'a aucune incidence sur le bénéfice net de la Société. Pour fins comparatives, les revenus pour les périodes de trois mois et de neuf mois terminées le 30 juin 2001 tiennent compte de réductions de 5,6 millions $ et de 13,8 millions $ respectivement. L'amortissement des coûts liés à des contrats et autres actifs à long terme a été réduit par des montants équivalents. De plus, l'adoption de cette présentation a eu pour effet de réduire les revenus pour les périodes de trois mois et de neuf mois terminées le 30 juin 2002 de 7,3 millions $ et 22,8 millions $, respectivement, soit un montant qui représente moins de 1,4 % des produits d’exploitation. La valeur du carnet de commandes a été réduite afin de refléter ce changement.
• Débiteurs et Produits reportés
• Au cours des trois mois terminés le 30 juin 2002, la direction de la Société a changé la présentation relative aux débiteurs et aux produits reportés pour la facturation anticipée de fin de mois des contrats d'impartition. Conséquemment, les débiteurs et les produits reportés ont été réduits de 43,8 millions $ et 34,5 millions $ respectivement au 30 juin 2002 et au 30 septembre 2001 afin de se conformer à la présentation adoptée au cours du présent trimestre.
• Écart d'acquisition et passif lié à l'intégration
• Suite à une révision de l'interprétation des règles comptables portant sur le passif lié à l'intégration dans le cadre d'un regroupement d'entreprises, la Société a modifié la répartition du coût initialement enregistré lors de l'acquisition d'IMRglobal Corp. (''IMR'') en date du 27 juillet 2001. Les estimations originales relatives aux ressources et aux coûts que nécessiterait l’intégration des différentes structures de soutien de IMRglobal et de CGI ont été revues à la baisse en raison de la réalisation de synergies plus importantes que prévu. Cette révision s’est traduite par une réduction de l'écart d'acquisition de 17,0 millions $, du passif lié à l'intégration de 20,8 millions $ et de l'actif d'impôt futur de 3,8 millions $.
• Écart de conversion
• Pour le trimestre terminé le 31 décembre 2001, la Société a révisé le calcul relatif au compte écart de conversion afin d'utiliser le taux courant plutôt que le taux historique pour la conversion de l'écart d'acquisition de ses filiales étrangères autonomes. Cette nouvelle base de calcul a été utilisée aux fins de la présentation du rajustement pour conversion en devises, dans les états financiers de l’exercice terminé le 30 septembre 2001, afin de se conformer à la méthode utilisée au 31 décembre 2001. Cette révision n'a aucun impact sur le bénéfice net de la Société. L'effet de ce changement sur l'écart de conversion et l'écart d'acquisition a été d'augmenter de 21,2 millions $ ces deux comptes sur le bilan consolidé du 30 septembre 2001.

Résultats du troisième trimestre
Les résultats du troisième trimestre et les éléments de comparaison qui s’y rapportent reflètent les modifications et révisions exposées ci-dessus. Ces modifications et révisions n’ont cependant eu aucune incidence sur le bénéfice net de la Société. Au troisième trimestre terminé le 30 juin 2002, les produits d’exploitation se sont accrus de 38,9 % pour atteindre 553,4 millions $, par rapport à 398,5 millions $ au trimestre correspondant un an plus tôt. Comparativement au deuxième trimestre de l’exercice 2002, alors que les produits d’exploitation totalisaient 531,9 millions $, la hausse a été de 4,0 %. La croissance interne de 9,0 % comparativement à la même période un an plus tôt est attribuable à l’effet combiné de différents facteurs : acquisition de nouveaux clients, renouvellement de contrats et obtention de nouveaux contrats importants auprès de clients actuels.

Les produits d’exploitation résultant des contrats d’impartition à long terme ont représenté 71 % du chiffre d’affaires total du troisième trimestre, y compris une contribution de 15 % des services en gestion des fonctions d’affaires. Les produits découlant des projets d’intégration de systèmes et de services-conseils ont formé pour leur part 29 % des revenus totaux. Sur le plan géographique, le chiffre d’affaires s’est réparti de la manière suivante : Canada, 74 %; États-Unis, 20 %; toutes les autres régions, 6 %. Les revenus liés aux clients du secteur financier sont toujours aussi importants et représentent 41 % de ses produits d’exploitation. La contribution des autres secteurs s’est établie de la façon suivante : télécommunications, 26 %; gouvernements, 16 %; fabrication/distribution/détail, 14 %; énergie et services, 2 %; et services de santé, 1 %.

Le bénéfice avant intérêts, impôts et amortissement (BAIIA)¹ a atteint 79,7 millions $ au troisième trimestre 2002, soit une hausse de 43,6 % par rapport au troisième trimestre 2001 (55,5 millions $) et de 9,3 % par rapport au trimestre précédent (72,9 millions $). La marge du BAIIA s’est chiffrée à 14,4 % à la fin du troisième trimestre 2002, comparativement à 13,9 % et 13,7 % à la fin du troisième trimestre 2001 et du deuxième trimestre 2002, respectivement. Le bénéfice avant intérêts et impôts (BAII) s’est établi à 62,4 millions $ au troisième trimestre 2002, soit une hausse de 42,2 % par rapport au troisième trimestre 2001 (43,9 millions $) et de 9,3 % par rapport au trimestre précédent (57,1 millions $). La marge du BAII s’est élevée à 11,3 % à la fin du troisième trimestre, comparativement à 10,7 % et 11,0 % à la fin du deuxième trimestre 2002 et du troisième trimestre 2001, respectivement. Le bénéfice avant intérêts et impôts est une mesure significative car elle reflète mieux le bénéfice après les coûts d’exploitation de la Société, y compris les dépenses d’amortissement des immobilisations et l’amortissement des coûts liés à des contrats et à d’autres actifs à long terme.

Le bénéfice net s’est établi à 36,5 millions $ au troisième trimestre de l’exercice 2002, soit une hausse de 50,0 % par rapport au bénéfice avant amortissement de l’écart d’acquisition enregistré au même trimestre de l’exercice antérieur (24,3 millions $) et une amélioration de 9,9 % comparativement au deuxième trimestre 2002 (33,2 millions $). Le résultat de base par action s’est établi à 0,10 $ au troisième trimestre 2002, par rapport au bénéfice par action avant amortissement de l’écart d’acquisition de 0,08 $ réalisé au même trimestre un an plus tôt, par rapport au résultat de 0,09 $ réalisé au deuxième trimestre 2002. La marge bénéficiaire nette a atteint 6,6 %, alors qu’elle s’élevait à 6,2 % au deuxième trimestre 2002 et que la marge nette avant amortissement de l’écart d’acquisition s’établissait à 6,1 % au troisième trimestre 2001. Conformément aux recommandations de l’ICCA, CGI ne présente plus l’amortissement de l’écart d’acquisition depuis le 1^er octobre 2001. Ainsi, le bénéfice avant amortissement de l’écart d’acquisition et le bénéfice net sont devenus équivalents. Afin de présenter des résultats clairs et de faciliter les rapprochements, la Société compare désormais le bénéfice net au bénéfice avant amortissement de l’écart d’acquisition enregistré au cours des périodes antérieures au 1er octobre 2001.

CGI conserve toujours un bilan solide et des liquidités qui, combinés aux marges de crédit bancaire, suffisent au financement de sa stratégie de développement et représentent un avantage concurrentiel lorsqu'elle soumissionne sur des contrats d'impartition. Au 30 juin 2002, CGI disposait d'une facilité de crédit totalisant 218,4 millions $. À la même date, la Société détenait des espèces et quasi-espèces d'une valeur de 122,9 millions $, comparativement à 152,5 millions $ le 31 mars 2002.

Les flux de trésorerie provenant des activités d’exploitation se sont élevés à 69,8 millions $ au troisième trimestre 2002, une augmentation de 41,2 millions $ par rapport au trimestre précédent. Cette augmentation est attribuable à l’amélioration des éléments du fonds de roulement et à la rentabilité accrue de la Société au troisième trimestre 2002. L’amélioration du fonds de roulement résulte d’une diminution de six jours du délai moyen de recouvrement des créances, notamment en ce qui concerne l’encaissement du crédit d’impôt remboursable sur les salaires, et de la hausse des impôts payables par suite de cet encaissement. Les sommes affectées à l’acquisition des droits annuels d’utilisation de logiciels ont réduit l’impact de ces augmentations. Si on exclut les effets de la variation nette des éléments du fonds de roulement, les flux de trésorerie provenant des activités d’exploitation sont restés relativement les mêmes par rapport au trimestre précédent.

«Nous sommes très fiers des réalisations de nos membres et de notre équipe de direction, a déclaré Serge Godin. La croissance de nos revenus, ainsi que notre marge bénéficiaire nette particulièrement élevée pour notre secteur d’activités, témoignent du respect rigoureux de notre modèle de gestion. L’intégration de nos contrats d’impartition et l’amélioration de l’efficience de plusieurs unités fonctionnelles nous ont permis de réaliser de nouvelles synergies. Notre nouvelle structure d’exploitation, qui a fait l’objet de modifications au cours du trimestre, nous permet également d’accroître l’efficacité de nos services en gestion des fonctions d’affaires et des TI aux États-Unis, et de les intégrer à notre structure mondiale de prestation de services.»
 

¹Le bénéfice avant intérêts, impôts et amortissement (BAIIA) est l’équivalent du bénéfice d’exploitation avant dépréciation et amortissement. Nous présentons le BAIIA car il constitue un indicateur financier généralement accepté de la capacité d’une société à contracter des dettes et à en assurer le service. L’investisseur ne doit pas considérer le BAIIA comme une expression différente du bénéfice d’exploitation ou du bénéfice net, comme un indicateur de la performance d’exploitation ou de l’état de l’évolution de la situation, ou comme une mesure de la liquidité dont dispose la Société. Le BAIIA tel que nous le présentons ne peut être comparé aux mesures qu’expriment d’autres sociétés sous un libellé qui ressemble à celui-ci.

Points saillants des neuf premiers mois de l’exercice 2002
Au cours des neuf premiers mois de l’exercice 2002 terminés le 30 juin 2002, CGI a réalisé des produits d’exploitation de 1 597,8 millions $, soit une hausse de 45,5 % par rapport à la même période de 2001, alors qu’ils s’établissaient à 1 098,5 millions $. Le BAIIA s’est chiffré à 221,2 millions $, une amélioration de 54,5 % par rapport au BAIIA de 143,2 millions $ présenté au cours des neuf premiers mois de l’exercice un an plus tôt. Le bénéfice net a totalisé 100,3 millions $, en hausse de 60,1 % comparativement au bénéfice avant amortissement de l’écart d’acquisition de 62,7 millions $ réalisé pendant les neuf premiers mois de 2001. Le résultat de base par action s’est établi à 0,27 $, par rapport au résultat de 0,22 $ enregistré pour les neuf premiers mois de l’exercice 2001.

Points saillants de l’exploitation
Au troisième trimestre 2002, la signature de nouveaux contrats, le renouvellement et la prolongation de contrats – d’une valeur de 2,15 milliards $ – et l’acquisition de nouvelles entreprises de plus petite taille ont amélioré les perspectives de croissance et le carnet de commandes déjà bien garni de CGI, qui a pu ainsi élargir son offre de services dans certains secteurs clés ainsi que sa présence géographique. Les principaux points saillants du trimestre sont les suivants :

• Signature d’une convention d’actionnaires visant à finaliser les conditions et modalités relatives à la création d’Innovapost, une coentreprise de services en technologies de l’information, dans laquelle la Société canadienne des postes détient la majorité des actions (51 %) et CGI, 49 %. Innovapost fournira l’ensemble des services en TI au Groupe Postes Canada ainsi qu’à des administrations postales d’autres régions du monde. La nouvelle entreprise compte présentement 150 employés, et devrait commencer à générer des revenus dès septembre. Elle devrait générer des revenus de 200 millions $ dans sa première année qui se terminera en avril 2003, des revenus de 400 millions $ à sa troisième année, et des revenus totaux d’environ 3,5 milliards $ sur une période de dix ans. Ce contrat devrait ajouter environ 1,75 milliard $ au carnet de commande de CGI sur une période de dix ans.
• Signature d’un protocole d’entente relatif à un contrat d’impartition d’une valeur de 80 millions $ sur dix ans avec League Data, un fournisseur de services en technologies de l’information. CGI devrait gérer la plate-forme de services bancaires actuelle de League Data et élaborer une nouvelle solution frontale par navigateur. L’entente sera soumise au vote des actionnaires de League Data le 1^er septembre 2002.
• Signature d’une entente prolongeant de trois ans le contrat entre CGI et Air Canada relatif au soutien et à la maintenance des progiciels intégrés de gestion des ressources, d’une valeur de 11,5 millions $.
• Acquisition de Myriap, un fournisseur de solutions de transactions électroniques. Les quelque 60 professionnels de Myriap qui se joignent aux équipes torontoises et montréalaises de CGI procurent à CGI des connaissances de pointe dans le domaine des transactions sur le Web.
• Acquisition du groupe de services aux détaillants de Netplex Systems, qui fournissait des solutions de gestion des stocks, de gestion intégrée des magasins et de distribution à plus de 240 clients du secteur du détail, notamment Macy’s, Toys “R” Us et Value City. Quarante professionnels d’Oklahoma se joignent ainsi à l’effectif de CGI.
• Acquisition de Stewart & Stewart Consulting Inc., dont les revenus sont évalués à 4,0 millions $. Les 35 professionnels de cette firme d’Edmonton, qui fournissent leurs services principalement au gouvernement de l’Alberta en vertu d’un contrat d’impartition en cours d’exécution au moment de l’acquisition, apportent à CGI des connaissances dans le domaine des systèmes d’information géographique et des systèmes liés aux ressources naturelles.
• Signature, avec Domtar Inc., d’un contrat de cinq ans en technologies de l’information, évalué à 18,5 millions $. CGI prendra en charge la gestion et le soutien de l’environnement informatique central et intermédiaire du client, y compris l’hébergement de l’infrastructure de quelque 42 serveurs, ainsi que la gestion des serveurs et du matériel.

Projets et perspectives
«Nous prévoyons maintenir un rythme soutenu de croissance, fondé sur une approche financière rigoureuse à l’égard des quatre piliers de notre croissance : l’acquisition d’entreprises de plus petite taille; les grandes acquisitions; le renouvellement de contrats additionnels et l’obtention de nouveaux contrats auprès de clients existants; et les contrats d’impartition en gestion des TI et des fonctions d’affaires de grande envergure, a ajouté M. Godin. Notre réservoir de soumissions, sous étude auprès de clients potentiels, se chiffre présentement à 5 milliards $ et porte sur des contrats de grande et moyenne envergure, dont au moins le tiers proviennent de clients américains. Nous sommes d’avis que notre situation financière robuste, la souplesse des partenariats que nous établissons avec nos clients, notre modèle unique de prestation des services à l’échelle mondiale et notre système de contrôle rigoureux de la qualité nous aideront à remporter plusieurs de ces contrats, et nous sommes confiants de renforcer davantage notre carnet de commandes et nos résultats financiers futurs.»

Prévisions
Sur la base des renseignements dont elle dispose actuellement sur le marché et sur la demande, et compte tenu des éléments saisonniers qui caractérisent le trimestre d’été, la Société a précisé ses prévisions pour l’exercice qui se terminera le 30 septembre 2002. Les produits d’exploitation devraient s’établir entre 2,13 milliards $ et 2,15 milliards $, soit une croissance de 36 % à 38 % par rapport à l’exercice 2001. Le bénéfice net par action devrait s’établir entre 0,36 $ et 0,37 $.

L’amélioration de la marge bénéficiaire demeure un des objectifs financiers prioritaires de CGI. Les améliorations que l’on observera au cours des prochains trimestres résulteront de nouvelles synergies découlant de contrats d’impartition de grande envergure, de nouvelles acquisitions et de la réduction progressive des frais de vente et d’administration.

CGI présentera ses prévisions relatives à l’exercice 2003 en même temps que les résultats du quatrième trimestre 2002. La Société n’a pas encore terminé la planification relative à l’exercice 2003, mais elle prévoit que son taux de croissance l’an prochain se situera dans les deux chiffres. Cet objectif de croissance ne tient pas compte de l’impact que pourraient avoir d’éventuels contrats d’impartition de grande envergure ou des acquisitions importantes.

Avis relatif à l’appel conférence trimestriel
Un appel conférence destiné aux milieux financiers aura lieu aujourd’hui, le 23 juillet à 10 heures (heure de l’Est). Les intéressés pourront écouter la conférence en composant le 888 799-1759, ou en direct sur le site Web de CGI à www.cgi.ca. Les participants pourront consulter des diapositives sur le site Web pendant l'appel. Pour ceux qui ne pourront participer en direct, la diffusion web et les diapositives seront archivées sur le site www.cgi.com

Énoncés de nature prévisionnelle
Toutes les déclarations contenues dans ce communiqué de presse qui ne concernent pas directement et exclusivement des faits historiques constituent des «énoncés de nature prévisionnelle» au sens de l’article 27A de la loi américaine «Securities Act» de 1933 et de l’article 21E de la loi américaine «Securities Exchange Act» de 1934, dans leurs nouveaux termes. Ces déclarations expriment les intentions, projets, attentes et opinions du Groupe CGI inc., sous réserve de la matérialisation de risques, d'incertitudes et d'autres facteurs sur lesquels la Société n'a, dans bon nombre de cas, aucune emprise. À cause de ces facteurs, les résultats réels pourraient différer considérablement de ceux qui sont indiqués.

Ces facteurs comprennent notamment, sans s'y limiter, la date d'entrée en vigueur et la valeur de contrats, d'acquisitions et d'autres initiatives de la société; la capacité d'attirer et de retenir du personnel compétent; la concurrence au sein d'une industrie des technologies de l'information en constante évolution; la conjoncture économique et commerciale; le risque de change; et les hypothèses et autres risques énoncés dans les documents suivants : analyse par la direction incluse dans le rapport annuel du Groupe CGI inc et dans le formulaire 40-F déposé auprès de la SEC; notice annuelle déposée auprès des commissions des valeurs mobilières du Canada. L’emploi aux présentes des termes «penser», «estimer», «s’attendre à ce que», «avoir l’intention», «anticiper», «prévoir», «planifier», ainsi que de tout autre terme de nature semblable et de toute autre forme conjuguée de ces termes, ne sert qu’à des fins d’énoncés de nature prévisionnelle et ne sont pertinents qu’en date de leur emploi, notamment en ce qui concerne les énoncés prévisionnels relatifs à la croissance. CGI décline toute intention ou obligation de mettre à jour ou de réviser les énoncés de nature prévisionnelle consécutivement à l'obtention de nouveaux renseignements ou à la survenue d'événements nouveaux, ou pour tout autre motif. Le lecteur est mis en garde contre le risque d’accorder une crédibilité excessive à ces énoncés de nature prévisionnelle.

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Ce communiqué est accompagné de tableaux financiers et de notes explicatives (10 pages). Si vous désirez les recevoir par télécopieur, veuillez communiquer avec nous au (514) 841-3217. Vous pouvez également les consulter dans notre site Web, à l’adresse www.cgi.com.