Poser des diagnostics exacts rapidement grâce à l’archivage indépendant

Les services d’imagerie médicale sont au cœur du processus de diagnostic et sont donc soumis à une importante pression. Les systèmes de santé doivent composer avec une pénurie croissante de radiologues, tout en s’efforçant de répondre à l’augmentation notable de la demande en matière de services d’imagerie diagnostique. Par conséquent, l’annonce du diagnostic se fait attendre chez les patients, et la qualité des services commence inévitablement à se détériorer. Dans certains pays, les systèmes de santé sont également responsables du suivi des doses de rayonnement appliquées aux patients au cours de leur vie.

Il est clair que les anciens modèles d’imagerie diagnostique ne sont plus suffisants. Seule une approche d’entreprise permet de surmonter les défis actuels. L’atténuation du besoin de répéter les examens par balayage pour les cas non urgents est une façon éprouvée de réduire le volume de demandes d’imagerie. L’échange sécuritaire d’images à l’aide d’outils d’archivage indépendant (« VNA ») peut aider les organisations de soins de santé à éliminer la répétition de ces examens.

Les outils d’archivage indépendant facilitent l’accès à un second avis médical ainsi que l’obtention rapide de résultats exacts pour les cas complexes, et améliorent ainsi l’expérience du patient et réduisent les coûts. Une approche cohérente pour l’entreposage, la récupération et la consultation des images renforce également les capacités de reprise après sinistre et réduit l’éventualité d’un audit. Afin de soutenir le travail d’équipes multidisciplinaires, les nouvelles plateformes d’imagerie ont été conçues pour produire des images radiographiques et non radiographiques (pour les services de cardiologie et d’endoscopie, par exemple), ainsi que des vidéos chirurgicales, des enregistrements d’autopsie et des photos de traitement de plaies. Elles assurent également une conformité accrue à la réglementation en intégrant, de façon uniforme, les politiques de gouvernance et de conservation de l’information à différents types d’images, et en plaçant le patient au cœur de ces politiques.

Bien qu’il existe des normes visant à faciliter l’échange d’images, beaucoup d’organisations de soins de santé emploient toujours des systèmes exclusifs d’archivage et de transmission d’images (systèmes PACS) qui nuisent à l’interopérabilité. À titre de fournisseur de confiance de solutions de communications par imagerie numérique en médecine (« DICOM ») et d’archivage indépendant pour les systèmes de santé de premier plan en Amérique du Nord et en Europe, CGI améliore l’interopérabilité des systèmes PACS sans les remplacer totalement. Les cliniciens peuvent donc continuer à utiliser les applications qu’ils connaissent, les flux de travaux cliniques restent intacts et les patients sont soumis à des doses de rayonnement moindres.

À l’aide de divers partenaires technologiques, nous avons créé des systèmes partagés fondés sur des normes qui transforment l’accès à l’imagerie numérique et le flux de travaux y étant associé. Ils peuvent répartir les tâches de production de rapports à l’ensemble d’une communauté de radiologues, peu importe où ils sont localisés. Ces solutions peuvent être gérées et hébergées par le client ou par CGI.

Grâce à ses activités d’amélioration de l’interopérabilité à l’aide de système d’archivage indépendant, réalisées sur deux continents à une échelle réelle (40 applications en Amérique du Nord et 24 hôpitaux en Europe), CGI est sans doute l’intégrateur de systèmes d’imagerie médicale le plus expérimenté au monde. 

Expérience et savoir-faire